En souffrance 

Rassurons-nous, il ne s'agit pas de grandes douleurs, mais de textes un peu oubliés, "en souffrance" comme on dit d'un colis envoyé mais jamais livré ni réclamé.

Quatre pièces m'ont inspiré ce titre, des pièces aux quelles je suis attaché et qui me semblent à tort ou à raison un peu au-dessus du lot. Ces pièces ne sont pourtant pas passées totalement inaperçues et ont suscité chez ceux qui les ont lues, entendues, dites, une certaine émotion. Elles n'ont simplement jamais été jouées, à mon grand regret.  

"Rêver d'ailes", texte plutôt destiné au jeune public a été publié (au côté d'un texte de Suzanne Lebeau) aux éditions du SCEREN (aujourd'hui CANOPE) et lu par la compagnie Coeur d'Art & Co lors du dernier festival Intermezzo de Lyon.

"Il est parti, Gus", proposé lui aussi aux jeune spectateurs, a fait l'objet de lectures publiques assurées par la compagnie La Manivelle à Saint-Omer. De plus, Luc Tartar et son Théâtre Appartager le proposera à une famille et les EAT (Ecrivains associés du théâtre) en confieront la lecture aux élèves-comédiens du Studio d'Asnières dans le cadres des Mardi Midi du Theatre 13 (le 29 janvier 2019). Il est parti, Gus est publié à l'école des loisirs (2019)

"Les engelures" a été l'un des six textes lauréats des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre 2006 et publié chez Comp'act (le texte est apparemment épuisé mais les JLAT en détiennent encore quelques exemplaires). On trouvera des extraits de ces trois textes ailleurs dans ce site.

"Accostages" est un texte très récent, dont on trouvera la présentation et quelques extraits ci-dessous.

Accostages, l'histoire : Nous voici sur la rive d'un fleuve. Flora et Al s'y rencontrent. Ils attendent l'un et l'autre, et pour des raisons bien différentes le Passeur, susceptible de leur faire traverser le fleuve avec sa barque. Le passeur est un personnage revenu de tout, Flora veut aller jusqu'au bout de l'espoir, Al est chassé de ce côté-ci du fleuve par le climat politiquement délétère qui s'y instaure. Et puis il y a cette brume qui s'effiloche dans les peupliers, ces barges chargées de gravats poussées par le courant, ces sombres cormorans qui investissent peu à peu les vasières...


Les nouveaux méfaits du tabac : ce monologue, écrit à la suite d'une série de rencontres, a été joué en 1997 au Studio du Théâtre de la Croix-Rousse à Lyon, dans une mise en scène de Marielle Créach' avec Henri-Edouard Osinski.


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